En cette fin d’été, il me vient une idée. Pourquoi ne pas faire payer aux anti-chasses les conséquences de la protection des animaux que l’on appelle désormais pudiquement ESOD (espèces susceptibles d’occasionner des dégâts) ? Absurde, direz-vous ? Pas tant que cela. Après tout, ce sont bien les chasseurs qui payent les dégâts occasionnés aux cultures agricoles par le grand gibier.
L’OFB vient d’éditer son rapport annuel sur l’accidentologie à la chasse. Dans le contexte de contestation actuelle de la chasse, et suite au rapport du Sénat sur la sécurisation de la pratique de la chasse, il était très attendu.
La randonnée, une activité de plein air qui permet de découvrir des régions pittoresques tout en pratiquant une activité physique bénéfique, se décline en une variété de types et d’itinéraires adaptés à tous les niveaux.
À l’occasion de ratés mémorables, on entend parfois quelques experts indiquer au maladroit que le responsable est l’armurier, qui n’a pas réglé leur optique à la DRO. Mais, que signifie donc ce drôle de terme ?
Entre nous, cela ressemble à un coup pour rien. Il y a quelques mois, téléguidés par des associations anti-chasse, le financement public du monde de la chasse faisait la une des médias.
Chaque année, à l’approche de l’automne, les forêts françaises se métamorphosent en un théâtre naturel captivant. C’est le temps du brame du cerf, un phénomène biologique époustouflant qui résonne dans les étendues forestières du pays.
En cette période intense de chasse d’été des brocards, certains d’entre nous aurons peut-être la chance de tirer de beaux animaux aux trophées flatteurs. Savez-vous qu’il est possible de le faire coter pour estimer leur « qualité » ? Mode d’emploi.
Il y trois ans répondant à une interview, le président de la Fédération nationale des chasseurs, Willy Schraen, avait souligné l’impact catastrophique des chats sur la faune, et la nécessité de les capturer. Cela lui avait valu, outre quelques noms d’oiseaux, d’être menacés de mort
Vagues de chaleur précoces et orages se succèdent en ce printemps et début d’été, interrogeant tous les Français sur la météo de leurs futurs congés. Les chasseurs y voient surtout des craintes ou des raisons d’espérer. Petites revues des conditions climatiques et de leur impact sur le gibier.
Entre nous, que cela fait du bien d’être en juin ! Après des semaines de temps maussade, et un joli mois de mai, pas si joli que ça dans la plupart de nos régions, ce mois de juin globalement ensoleillé réjouit tout un chacun, et les chasseurs encore davantage. Car ça y est, nous y sommes. Si certaines chasses de régulation sont possibles au printemps, pour beaucoup d’entre nous, la chasse débute le 1er juin.
Sorti en mai, le nouveau livre de Stéphan LEVOYE et Guy BONNET s’annonce déjà comme la référence ultime sur le cerf, et cette période si particulière du brame, paroxysme forestier de la vie du plus grand animal de nos contrées.
Le 10 mai, SAKO, le fabricant scandinave de carabine, a lancé une nouvelle série de carabines en sept variantes, trois destinées à des chasses en montagnes, les quatre autres à des usages à plus faible altitude.